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Anatole News

11 avril 2008

L'histoire du Hockey sur glace

Hockey sur glace

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Le hockey sur glace se joue sur une patinoire. Chaque équipe est composée de six joueurs (cinq joueurs de champ et un gardien de but) qui sont équipés de patins à glace. L'objectif est de marquer des buts en envoyant un disque de caoutchouc vulcanisé appelé palet ou ronde, dans le filet adverse, placé à l'autre extrémité de la patinoire. Les joueurs manipulent la rondelle à l'aide d'une crosse de hockey également appelée bâton de hockey.

Les cinq joueurs de champ sont généralement trois attaquants (un centre, un ailier gauche et un ailier droit) et deux défenseurs. Un groupe de trois attaquants forme une ligne d'attaque et une paire de défenseurs forme une ligne de défense. Il existe également des lignes spécifiques aux situations d'infériorité numérique ou de supériorité numérique.

Les changements de ligne peuvent intervenir lors des arrêts de jeu, mais également au cours du jeu (on parle alors de changement volant).

Une équipe de hockey compte une vingtaine de joueurs (quatre lignes d'attaquants, trois ou quatre de défenseurs et deux gardiens de buts).

Certaines charges et certains contacts sont autorisés sur le porteur du disque. Il s'agit, avant tout, de gêner l'adversaire, de le déstabiliser lors de prochains contacts, de le fatiguer et de lui faire perdre le palet. C'est une technique de base au hockey. On parle alors de mise en échec.

La bande (ou la balustrade) entourant la glace permet de garder la rondelle à l'intérieur de la patinoire, le jeu pouvant ainsi durer plusieurs minutes sans interruption. Quand l'action s'arrête, le jeu reprend toujours par une mise au jeu (ou engagement). Les deux règles majeures limitant les mouvements de la rondelle sont le hors-jeu et le dégagement interdit.

Un match dure trois périodes de 20 minutes chacune, l'horloge étant arrêtée à chaque arrêt de jeu. En cas d'égalité à la fin du temps règlementaire, la procédure varie suivant le contexte et suivant les règles spécifiques à chaque championnat. Le match peut alors se poursuivre avec une période de prolongation en mort subite pour déterminer un vainqueur. Si le score est inchangé à l'issue de la prolongation, une séance de tirs de fusillade peut se dérouler.

Un match peut également comporter des combats entre joueurs, combats tolérés ou interdits selon les ligues et les compétitions.

Les origines du hockey

S'il est une paternité qui est pour le moins disputée, c'est bien celle de l'invention du hockey. Pêle-mêle, les Canadiens, les Américains, les Ecossais, les Irlandais, les Néerlandais, les Amérindiens, et même les Français, ont trouvé dans leurs jeux traditionnels un ancêtre plus ou moins convaincant du hockey.

Il est vrai que des jeux de crosse furent pratiqués en Europe durant le Moyen-Âge : le shinney anglais (et son ancêtre écossais, le shinty), le hurling (ou hurley) en Irlande, la soule à la crosse en France et le ken jaegen aux Pays-Bas, plus exactement dans la Frise. Les allusions à de tels jeux remontent généralement au quinzième siècle, voire au quatorzième. Remarquons toutefois que la plupart de ces sports ne se pratiquait pas (ou pas exclusivement) sur de la glace, et peuvent très bien être également considérés comme l'ancêtre d'autres sports, comme le hockey sur gazon, de même que la soule est à la fois l'ancêtre du football, du rugby, du handball, etc. La "spécificité" d'un sport vient généralement de ses premières règles clairement établies, nous y reviendrons.

Ces jeux ressemblaient d'ailleurs souvent, notamment par leur brutalité, à la soule. Dans celle-ci, il s'agissait de s'emparer de la balle par tous les moyens, par exemple pour l'amener dans un village ennemi. Dans une des formes de hurling, on frappait la balle, et le premier à l'atteindre l'envoyait à nouveau au loin, afin que la course-poursuite recommence. Inutile de préciser que tous les coups, ou presque, étaient permis.

En fait, le hockey semble être né de la convergence de deux pratiques et de deux cultures : le hurling, amené par les immigrants en Nouvelle-Écosse, et un jeu similaire des Indiens d'Amérique (appelé "Oochamkunutk" par les Micmac et par le nom anglais Baggataway pour ce qui est de la variante pratiquée par les Chipewyan et les Hurons), qui se jouait avec des crosses munies d'un petit filet à leur extrémité.

Des variantes autres que le hockey existent toujours : lacrosse au Canada et bandy en Europe. Ce dernier, qui se joue à 11 sur une glace aux dimensions d'un terrain de football, a permis à la Finlande et surtout à la Russie de disposer d'un réservoir de joueurs quand le hockey s'y est développé. En réalité, le bandy européen était au dix-neuvième siècle assez similaire aux matches de "hockey" nord-américain qui se disputaient avec des caractéristiques semblables : grande aire de jeu sur un lac gelé, nombre important de joueurs, balle en lieu et place du palet pas encore inventé.

C'est ce qui rend un peu stérile la querelle qui oppose depuis toujours deux villes canadiennes, Halifax en Nouvelle-Écosse et Kingston en Ontario, pour savoir où s'est déroulé le premier match de hockey. Les deux rivales prétendent que les soldats britanniques de la "Royal Canadian Rifles" ont disputé une partie sur leur port gelé en décembre 1855. Mais à cette date, l'armée en question disputait la guerre de Crimée... Il est fort peu probable que la lumière soit un jour faite sur ce conflit (non, pas la guerre de Crimée, mais la guéguerre Halifax-Kingston).

En réalité, la véritable origine du hockey, on en trouve trace à Montréal, car c'est là que furent établies les premières règles, en 1875 à l'université McGill. La codification permet en effet de déterminer la naissance d'un sport qui, si l'on prend en compte les formes les plus variées, a été pratiqué un peu partout. Et c'est deux ans plus tard, en 1877, que William Fleet Robertson, un étudiant de McGill, décida de découper la balle de hockey, afin qu'elle reste un peu plus sur la glace au lieu de s'envoler au milieu des spectateurs. Il enleva les deux extrémités et lui fit perdre sa forme sphérique pour lui donner sa forme bien connue de palet, qu'il était alors interdit de lever dans les airs... Ce dernier point était une mesure de protection des gardiens, qui ne portaient pas d'équipement spécial. En contrepartie, logiquement, les portiers n'avaient pas le droit de se coucher sur la glace, sinon ils auraient totalement obstrué le but.

Le hockey canadien de l'époque, sport très physique, était très fortement inspiré du rugby. En particulier, il était courant d'effectuer des "chandelles" pour dégager le palet, avec récupération au point de chute dans le camp adverse - par le même joueur. En effet, toujours comme en rugby, il était interdit de faire des passes vers l'avant (c'était le cas uniquement en Amérique du nord, les premiers matches de hockey en Europe occidentale se jouaient pour leur part avec une règle du hors-jeu identique à celle du football). Mais en 1913, on trouva un moyen bien plus ingénieux d'éviter que des joueurs campent devant le but adverse : le hors-jeu de ligne bleue. C'est en effet cette année-là qu'on partagea le terrain en trois parties.

Autre évolution, la réduction du nombre des joueurs. Dans les premières règles codifiées au Canada, on jouait à neuf par équipe, mais en 1884, les propriétaires de la patinoire de Montréal, pressés par les patineurs artistiques qui menaçaient de partir car la glace était en trop mauvais état, demandèrent (et obtinrent) que le nombre de joueurs passe à sept. Il serait plus tard porté à six comme on le connaît actuellement.

Publié par Charline.J et Jessica.F

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11 avril 2008

Recherche de thèmes

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Maintenant que le blog est en ligne, vous pourrez y trouver les thèmes suivants :

  • Équitation,

  • Gastronomie,

  • Grass – Track,

  • Informations sportives,

  • Concerts, théâtre, spectacles,

  • Informations culturelles,

  • Le jeu de la semaine,

  • Orientation,

  • Projets pédagogiques.

Si vous tenez à voir apparaître dans ce blog un thème qui vous plaît n'hésitez pas à nous l'indiquer en l'inscrivant ci-dessous :

Thèmes

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(si vous le souhaitez)

Classe

4 avril 2008

L'évolution des métiers du secrétariat

Historique :

Le scribe était l'ancêtre de la secrétaire.

De l'Antiquité jusqu'à l'avènement de la machine a écrire, la profession se trouve structurée sur une ambivalence : un préjugé de "domesticité", allié à un rôle de conseil sans participation à la prise de décision.

En 1888, l'invention de la machine à écrire, couplée à la sténographie, conduit à la mécanisation des tâches de secrétariat et à la taylorisation de l'activité (création de pools).

La profession commence alors à se féminiser. Le développement de l'informatique désenclave le secrétariat et ouvre la profession sur les autres spécialités de l'entreprise.

Dans les années 80, les effectifs passent de 527 000 à 832 000 secrétaires. Ils se maintiennent aux alentours de 850 000 emplois dans les années 90.

Au début des années 2000, une période de régulation apparaît, avec une diminution des postes dans les métiers les moins qualifiés.

Les emplois :

Les secrétaires (catégories employées) représentent 80 % de l'emploi total, les secrétaires de direction 20 % (catégories des agents de maîtrise, professions intermédiaires). Les trois quarts des secrétaires travaillent dans les services.

Les PME arrivent en tête pour l'emploi des secrétaires : la moitié des postes se trouvent dans les entreprises de moins de 50 personnes, le tiers dans les établissements de moins de 10 salariés.

26 % des secrétaires assistantes travaillent à temps partiel (17 % pour les secrétaires de direction).

On assiste à un vieillissement récent de la population. Les secrétaires âgées de plus de 45 ans ont progressé de 12 % en 8 ans.

En 1999, le salaire médian était de 1 156 euros nets (7 583 F) pour les secrétaires et de 1 550 euros (10 170 F) pour les secrétaires de direction.

L'évolution de la profession :

Une double transformation s'opère, sur les plans technologique et organisationnel.

La première phase est la conséquence du développement des NTIC (Nouvelles technologies d’information et de communication).

La saisie informatique des données dans l'entreprise est effectuée par toutes les catégories de personnels et les cadres se "partagent" une même secrétaire. La capacité à jouer de la complémentarité des logiciels (traitement de textes, PAO, tableur, SGBDR…) et à communiquer à distance, grâce au fonctionnement en réseaux, permettent l'élargissement du champ d'activités des secrétaires-assistantes.

La deuxième phase correspond au développement de l'informatique nomade. Les "collecticiels" offrent la possibilité de travailler à plusieurs sur un même document à distance. La reconnaissance vocale et les systèmes de gestion électronique des documents (GED) permettent la personnalisation des échanges.

Avec la diminution des lignes hiérarchiques, les tâches de gestion, de planification, d'organisation en projets sont transférées vers le secrétariat.

publié par Cléa et Carole

4 avril 2008

Interview d'Aurélien Lamarque

Interview d'Aurélien Lamarque pilote en catégorie Open 500 cm3 agé de 24 ans, 11 ème  du championnat de France de sa catégorie en 2007. En espèrant une bonne saison 2008 pour lui.

D'où t'es venue cette passion ?

De ma famille qui m'a fait connaître ce sport.

Te souviens-tu de ta première course ?

C'était à Arbis en 1996, avec les pilotes Frédéric Milan, Sébastien Trésarrieu, Philippe Ostyn, Jérémy Bareau...

Le Grass-Track est-il un sport qui coûte cher ?

Oui, cela dépend des niveaux.

Est-ce difficile de trouver des sponsors ? Pourquoi ?

Oui car ils sont beaucoup sollicités et ce sport n'étant pas médiatisé en France c'est aussi difficile.

Est-ce-que les sponsors financent la majorité des dépenses ?

Non, même pas un quart.

À quoi penses-tu pendant les manches ?

À ne pas faire de faute de pilotage.

Comment te motives-tu après une mauvaise course ?

En l'oubliant lors des courses suivantes.

Que penses-tu de l'ambiance du Grass-Track ?

Elle est mauvaise.

As-tu un modèle ?

En Speedway Tony Rickardson et en Grass-Track Philippe Berger et Simon Wigg.

Si tu devais choisir entre le Speedway et le Grass Track que choisirais-tu ? Pourquoi ?

Le Speedway car il y a plus de sensations, plus de glisse et plus de vitesse.


Quel est ton meilleur souvenir de course ?

Poole, il y avait une bonne ambiance.

Quel est ton pire souvenir ?

Ma première chute aux Artigues de Lussac en 1997.

Est-ce difficile d'avoir une vie de famille à côté du Grass-Track ?

Non, si on ne mélange pas sport et famille.

Peux-tu faire un bilan de ta saison 2007 ?

J'ai fais des progrès mais le saison 2007 est interrompue pour moi.

Quels sont tes objectifs pour 2008 ?

Faire le maximum de courses et surtout me faire plaisir.

4 avril 2008

Les cannelés

http://www.jedecouvrelafrance.com/f-3449.gironde-cannele.html

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Cette spécialité bordelaise a fait couler beaucoup d'encre quant à ses origines... La légende voudrait que ce soient les soeurs de l'Annonciade qui aient créé le cannelé.

Mais la réalité est certainement toute autre et se rapprocherait plutôt de la canole, spécialité limousine qui apparaît à Bordeaux au cours du XVIIème siècle et qui se consommait dans de telles quantités qu'il existait une corporation des canauliers fabriquant exclusivement cette pâtisserie [...].

Puis le cannelé tombe dans l'oubli pour ne réapparaître qu'au début du XXème siècle, agrémenté de rhum et de vanille dans son moule à douze cannelures, en cuivre, pour la caramélisation... Ces petits gâteaux individuels s'adaptent à toutes les situations, dégustation de liqueurs, dessert, accompagnement du thé, goûter des enfants... facile !

D'apparence foncée, recouvert d'une croûte caramélisée, le cannelé cache bien son jeu : il est à l'intérieur... tendre, moelleux et fondant. Mais attention ; À déguster dans la journée pour qu'il conserve son croustillant !

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4 avril 2008

Accords mets et vins : Les spécialités du terroir

http://www.excellor.fr/spip.php?rubrique11

L'agneau de Pauillac

C'est un agneau de vignes typique du Bordelais. Du temps de la transhumance, les moutonniers s'arrangaient avec les propriaitaires des châteaux viticoles, notamment ceux du Médoc : après les vendanges, les moutons pouvaient pacager* au milieu des pieds de vignes. C'était un prêté pour un rendu. Tout en se nourissant, les moutons servaient de « désherbant » naturel et en même temps ils « fumaient »* les champs. Les agneaux de lait nés de les mères se nourissant ainsi sont dit « agneaux de Pauillac ». On trouve naturellement aujourd'hui encore, des troupeaux de moutons en Médoc qui ont pour prairie des champs de vignes.

    *Pacage : lieu où l'on fait paître les bestiaux.

    *fumer une terre : Épandre du fumier sur le sol

Boeuf de Bazas

Il s'en est fallu de peu, la Bazadaise a bien faillit disparaître. Ce sont les gourmets qui l'ont sauvée. Le boeuf de Bazas est une race locale à la belle robe gris clair. Elevé en plein air, le boeuf de Bazas a une chair savoureuse et se prête parfaitement à la préparation de l'entrecôte bordelaise.

Le cannelé

Moelleux à l'intérieur, croquant à l'extérieur, c'est « le » gâteau de Bordeaux. Il emprunte son nom aux petits moules en cuivre étamé et à bord cannelés, dans lequel on le fait cuire. L'origine du canelé remonte à 1519. A l'époque ce sont les religieuses du couvent des Annonciades qui les fabriquaient, ainsi que d'autres friandises dont elles avaient le secret.

Les huîtres

A l'époque où les romains se sont installés en Aquitaine, l'huître avait déjà colonisé le Bassin d'Arcachon. Mais ces gisements naturels qui permirent à la population locale de se régaler de gravette jusqu'au XVIIIème siècle périclitèrent puis disparurent devant le trop grand appétit des hommes. La gravette (ostrea edulis), l'huître plate qui vivait à l'état sauvage dans le Bassin a depuis été remplacée par la portugaise puis par la japonaise. C'est cette dernière (crassostrea gigas) qui est aujourd'hui vendue sous le vocable d'huître d'Arcachon. L'huître aujourd'hui est élevée dans des parcs en pleine mer. Dès sa naissance elle fait l'objet de soins constants car ce n'est qu'au bout de trois années qu'elle est adulte et donc prête à être consommée.

Macarons de Saint-Emilion

Le macaron est un petit gâteau, préparé avec des amandes, du sucre et du blancs d'oeufs. A St-Emilion, la recette a été léguée aux habitants de la cité par les religieuses qui en vivaient lorsqu'elles furent chassées de leur couvent à la révolution française.

La lamproie

La lamproie est une sorte de gros serpent de mer qui remonte Garonne et Dordogne au printemps, et qui se prépare à la Bordelaise. Cuite comme un civet dans son sang et dans un vin rouge corsé (la tradition veut que se soit un vin de St-Emilion), elle compote avec des poireaux. C'est un grand classique de la cuisine de Bordeaux.

L'alose

C'est un gros poisson gris bleuté qui, de Mars à Juillet, remonte l'estuaire pour aller frayer dans la Dordogne ou la Garonne. Sa chair est délicate mais le poisson est plein d'arêtes. C'est pourquoi le recette la plus courante consiste à la faire cuire sur un lit d'oseille (l'oseille fait fondre les arêtes). Tout simplement grillée sur la braise, elle est fameuse aussi.

La pibale

Les bébés anguilles (pibales) nés dans la chaude mer des Sargasses se laissent porter par les courants et arrivent sur nos côtes d'où ils cherchent à rejoindre les fleuves pour aller y grandir tranquillement. Devenus anguilles, ils retourneront pour se reproduire dans la mer qui les a vu naître. Et le cycle recommencera... A moins qu'un pêcheur ne soit passé par là. Car la pilabe est un mets royal. On la cuisine à l'espagnole dans une cassolette en terre avec de l'huile d'olive. Malheureusement, du fait du braconnage, la pibale se fait de plus en plus rare.

L'esturgeon de Bordeaux

Autrefois en Gironde, l'esturgeon était un poisson commun. On le pêchait pour sa chair blanche et fine que l'on pourrait comparer à celle de la lotte. Quant aux oeufs, aujourd'hui si précieux, ils amélioraient l'ordinaire des poules et des cochons... Ce n'est qu'après la guerre de 1914 et sur les conseils d'un ancien chef des pêcheries du Tsar de Russie que les pêcheurs girondins apprirent à préparer le caviar. Au lendemain de la seconde Guerre Mondiale on en produisait jusqu'à 8 tonnes par an, et du meilleur... Mais là aussi, modernisme et braconnage se sont ligués pour faire disparaître l'esturgeon de nos rivières. Au début des années 1980, lorsque la pêche fut interdite, l production du caviar en Gironde était tombée à 25 kg par an. Rare et savoureux, le caviar de Gironde se classe immédiatement après le béluga. Et il est trois fois moins cher à la vente...

4 avril 2008

Présentation de l'Aquitaine

aquitaine_1_L'Aquitaine est une région française du Sud-Ouest de la France. Elle comprend cinq départements : Dordogne, Gironde, Landes, Lot-et-Garonne et Pyrénées-Atlantiques.

L'Aquitaine est traversée par trois fleuves : la Garonne, la Dordogne et l'Adour. Elle s'ouvre à l'Ouest sur l'océan Atlantique par une côte rectiligne de 270 km de long, baptisée « côte d'Argent » et seulement interrompue par le bassin d'Arcachon.

28 mars 2008

Crêpes à la règle de 3 (dessert)

Préparation : 5 mn Cuisson : 15 à 20 mn pour l'ensemble des crêpes

Ingrédients (pour 10/15 crèpes) :

- 300 g de farine

- 3 oeufs

- 3/4 de litre de lait

- 3 cuillères à soupe d'huile

Préparation :

Mélanger le tout.

Faire cuire (une à une !!!!) dans une poêle anti-adhésive (ou frotter le fond de votre poêle avec un essuie-tout huilé).

Publié par : Aurore B.

28 mars 2008

Pommes de terre aux magrets de canard (plats)

Préparation : 5 mn Cuisson : le temps de cuisson des pommes de terre à l'eau

Ingrédients

- 4 pommes de terre

- de la crème fraîche à volonté

- des tranches de magret de canard sec

Préparation

Faire cuire les pommes de terre dans un autocuiseur.

Les égoutter, les couper en deux. Mettre une tranche de magret de canard secs sur chaque moitié de pomme de terre. Mettre de la crème fraîche sur les moitiés de pomme de terre.

Publié par : Aurore B.

:
(pour 4 personnes) :

28 mars 2008

Chèvre en feuilleté (entrée)

Préparation : 20 min Cuisson : 15 min

Ingrédients


Préparation :
Couper la bûche en 8 rondelles égales.
Avec un verre, couper 16 ronds dans la pâte feuilletée.
Poser chaque rondelle de fromage sur un rond de pâte feuilletée, parsemer de basilic, et recouvrir avec la pâte feuilletée restante.
Fermer tout autour les petits pâtés ainsi réalisés. Dorer au jaune d'oeuf avant de passer au four (15 min à thermostat 7/210°C).
Se marie très bien avec une salade verte.

Publié par : Aurore B.

(pour 4 personnes) :
- 1 bûche de fromage de chèvre
- 1 pâte feuilletée
- 1 oeuf
- basilic

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